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7 sites pour trouver votre nom d’entreprise

Trouver le nom de votre entreprise est difficile… il va représenter tellement !

C’est celui que vont prononcer vos clients (ou prospects dans un premier temps).
C’est celui que vous allez répéter des dizaines de fois par jour, y compris au téléphone.
C’est celui qui apparaitra sur tous vos documents, brochures, cartes de visite, site internet… et qui sera si difficile à changer (contrairement au slogan).
Et surtout, c’est celui qui va véhiculer votre image, qui doit être facile à retenir, à épeler, qui doit raconter votre entreprise etc..

Voici 6 sites pour vous aider dans cette tâche ardue :

Sur le blog de Guilhem Bertholet : bon récapitulatif des points importants.
http://www.guilhembertholet.com/blog/2010/11/08/trouver-le-nom-de-sa-startup/

Sur MarketingSherpa : 3 étapes et erreurs à éviter (en Anglais).
https://www.marketingsherpa.com/article.php?ident=24156#

Sur Onstartups.com : 17 suggestions pour nommer votre startup (en Anglais).
http://onstartups.com/tabid/3339/bid/17702/17-Mutable-Suggestions-For-Naming-A-Startup.aspx

Sur Come4news : descriptif très complet et surtout avec de vrais « trucs » (comme les évocations de telles ou telles consonnes au début du nom etc…)
http://www.come4news.com/6-etapes-pour-trouver-le-nom-de-son-entreprise-de-sa-marque-ou-de-son-site-int.html

Dictionnaire d’expressions : bien pratique pour trouver des jeux de mots ou des évocations autour de votre thème.
http://www.mediadico.com/dictionnaire/expression

Dotomator : site qui vous propose des combinaisons de plusieurs mots ou encore un générateur d’adresses web 2.0. Idéal si vous êtes en panne d’inspiration.
http://www.dotomator.com/

Namechecklist : verifie la disponibilité de votre nom pour différentes extensions de sites internet, pour les réseaux sociaux et vous donne le nombre de réponses dans les moteurs de recherche.
http://www.namechecklist.com/

Bonne recherche !

Le temps, c’est précieux ! – Partie 1

J’avais d’abord pensé publier un article expliquant que j’allais créer une entreprise de poissons farcis surgelés, mis je me suis retenu…
Au lieu de cela, j’ai récemment découvert quelques outils internet qui me font gagner un temps fou. Je vous avais précédemment expliqué comment gagner du temps grâce à Twitter. Je vais vous parler dans cet article en plusieurs parties des autres sites qui me font gagner du temps.
Il s’agit essentiellement de sites 2.0 ou dits « communautaires ».
On les connait de nom, mais on ne les utilise pas forcément. Ce sont selon moi des réussites car ils s’inscrivent dans la lignée du développement d’Internet.

Au départ, on rentrait les adresses dans la barre d’adresse tout en haut (si si, je vous jure et elle y est toujours !) et souvent, on faisait des fautes de frappes et il fallait rechercher l’erreur qui, une fois sur deux, résultait d’une confusion entre le tiret bas et le tiret haut…Et puis bien sûr, il fallait avoir l’adresse sous la main.

Sont arrivés ensuite les moteurs de recherche. Il y avait de plus en plus de contenu sur la toile et il fallait faire un tri. Alors ils étaient classés en catégories et plus on avançait, plus les sites étaient précis. Ça prenait du temps, mais on finissait par trouver ce que l’on cherchait.

Puis est arrivé Google qui a simplifié grandement la recherche : d’autres moteurs de recherche avant lui proposaient d’inscrire les mots clés pour recevoir des suggestions, mais ces sites étaient lents, confus et… pire que tout, ils avaient chacun un système d’opérateurs booléens différents. Des quoi ?! Des opérateurs booléens, ces signes que l’on plaçait entre les mots. On pouvait par exemple chercher des recettes de salades d’avocats en entrant : « Salade et Avocat moins procès »… (mais sur d’autres sites, c’était des + et des – par exemple…). C’était long, compliqué et pas toujours très pertinent.
Google a fait simple, particulièrement épuré (qui a dit comme Apple !?) et efficace. Depuis ce jour, nous cherchons l’information plus vite, même si il faut encore explorer plusieurs liens pour trouver un site pertinent ou qui n’est pas commercial. J’en étais globalement resté là jusqu’au mois dernier…

Mais maintenant qu’il y a une quantité d’informations colossale sur la toile, on serait forcément intéressés à trouver plus vite ce que l’on cherche… voire même que l’information que l’on veut nous trouve !! Ce serait pas génial, non ? On resterait dans notre canapé à voir les tweets défiler, les « j’aime » s’accumuler… on ne pourrait pas non plus zapper sur internet par hasard ?!

Ce sont ces petites applications du Web 2.0, dont on entend souvent parler, qui me permettent de gagner une bonne heure par jour ! Attention cependant, une utilisation non optimisée de ces outils peut faire perdre beaucoup de temps aussi…

Petite revue d’effectif (articles descriptifs à venir) :

Facebook
Twitter
Netvibes
Les flux RSS
Stumble Upon

Et vous, vous utilisez quoi pour gagner du temps sur internet ?

Les secrets d’un bon slogan

Qu’est-ce qui fait la différence entre :
« On se lève tous pour Danette ! », « Yes, we can », « Boire ou conduire il faut choisir », « Nespresso, What Else ? » ou encore « Parce que je le vaux bien »
et les slogans suivants :
« Il faut un président à la France », « Fruitella, le bonheur d’être tous ensemble », « Gervais aux fruits, grandir dans le bon sens » ou encore « Apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre » ?

Je ne suis pas expert pour y répondre, mais Pierre Morsa, oui !
Il a écrit une série de 3 articles sur le sujet que je résume pour vous :

Il utilise le concept de la Powerline : une phrase qui accroche avec un pouvoir évocateur puissant.

Une powerline peut être un slogan, mais également une citation célèbre (I have a dream), une réplique de film (C’est bon, c’est fin, ça se mange sans faim) ou même une blague (le « Mangez des pommes » de la marionnette de Chirac aux guignols lui a certainement servi à asseoir son image France-Terroir…).

Dans le cas d’un slogan, il doit décrire ce que le consommateur attend du produit (sans forcément tomber dans la description vide de sens du genre : « Dupont, charpentier menuisier »).

Les trois règles d’or sont les suivantes :

  • Raconter une histoire (Eastpak, « Build to resist »)
  • Être crédible (« Andros, ça c’est fort de fruit », meilleur que « Snapple, the best thing on earth, just got better »)
  • Avoir une sonorité mémorable (Pti Dop, « Ne pique pas les yeux, évite les noeuds »)

Il y a par ailleurs quelques règles d’argent qu’il est important de respecter :

  • Décrire / rappeler la promesse (les bénéfices du produit pour le client)
  • Être original, se démarquer de la concurrence
  • Provoquer une émotion
  • Ne pas travailler en comité ou en focus group pour la phase créative
  • S’assurer que le slogan permet de comprendre ce que le produit peut faire pour le client
  • Être présent : apparaître sous plusieurs formes (écrite, orale) et via plusieurs supports
  • Garder un bon slogan… Le changer pourrait décevoir les clients
  • Donner de la personnalité au slogan

Pour finir, voici une powerline qui est restée incontestablement dans l’histoire :
Veni, Vidi, Vici (pas la peine de citer l’auteur, je crois…)

Je vous mets les liens vers les articles de Pierre Morsa :
Article 1
Article 2
Article 3

Bon, mais concrètement ?
Ça fait deux jours que je suis plongé là dedans… et même si j’ai saisi l’idée générale, c’est bien plus compliqué que ça en a l’air…
J’ai maintenant une petite dizaine de slogans, mais en les lisant à voix haute, ils sonnent franchement ridicules… il faut vraiment faire chauffer le dictionnaire des synonymes pour trouver LE terme qui sonnera bien et n’aura pas de connotation étrange…

Bon, je pars en reformuler quelque-uns !!

Edit : le site suivant répertorie des centaines de slogans publicitaires… une bonne source d’inspiration !
http://slogansdepub.skyrock.com/

Et en cadeau bonus, les anglophone (sous-titres en Français disponibles) pourront se délecter de la leçon de marketing de Simon Synek : How great leaders inspire action ?

C’est aussi une bonne leçon d’argumentation, domaine dans lequel les américains excellent…

Also available in English

Pour l’instant, j’arrive à tenir la cadence : je mets à jour ce blog quotidiennement la semaine (à terme, 2 ou 3 bons articles par semaine me semblent un objectif correct…) mais également son petit frère anglais : My business by the end of the year

Plusieurs raisons à cela :

– Face à l’incertitude quant au pays où je créerai cette entreprise, mieux vaut être présent en deux langues sur internet.

– C’est un bon moyen de perfectionner mon anglais professionnel. En effet, à chaque traduction d’article, je me retrouve à reformuler des expressions françaises qui n’ont pas leur équivalent dans la langue de Shakespeare Steve Jobs et à chercher des traductions correctes sur Wordreference.

– Dès que je serai à jour dans mes « trucs à faire » sur ce blog, j’aurai le temps de parcourir la blogosphère des entrepreneurs anglophones et je pourrai alors différencier un peu les deux blogs.

Wish me good luck !

Formes, couleurs et communication

Durant deux semaines, je vais être en mode Comm’ !

J’ai potassé le livre électronique Décryptages numéro 1 du markeutinge et de la comm de Luc-Olivier Lafeuille, disponible gratuitement sur ce site : http://asity.fr/index.php/publications. Au passage, en recherchant ce lien, j’ai découvert qu’il propose d’autres livres en téléchargement… je viens donc de dévorer en une petite heure Les trucs et astuces du markeutinge. Ces livres sont simples et agréables à lire. Il ne s’agit pas de méthodes pré-mâchées mais plutôt de conseils venant de personnes expérimentées et qui permettent de comprendre les enjeux de la communication. C’est exactement ce genre de livre que je recherche pour m’auto-former à de nouvelles disciplines. Je ne deviendrai pas expert en comm’, mais avoir quelques bases et s’y plonger pendant quelques jours me permettront, je l’espère, d’éviter quelques erreurs grossières.

Tout d’abord, je vais essayer de trouver un nom pour l’entreprise : le concept et assez clair dans ma tête maintenant pour savoir ce que je veux y transmettre. Ensuite, je vais chercher un slogan, une vocation et une (ou plusieurs) promesse(s). Si ces mots ne vous disent rien, n’hésitez pas à jeter un oeil aux bouquins cités ci-dessus… moi non plus, la semaine dernière, je ne savais pas ce que ça voulait dire !
Une des difficultés à trouver un nom réside dans le fait qu’il faut qu’il soit disponible. Mais disponible partout !!! Ce qui veut dire : en tant que marque dans mon domaine à l’INPI, en tant que marque à l’étranger (éventuellement), en tant qu’adresse internet (.fr et .com, tant qu’à faire), facile à prononcer et à retenir dans plusieurs langues, etc… pfiouuu, j’en ai déjà des suées !!

Ensuite, je vais m’attacher au bout d’une corde à définir des couleurs et des formes qui correspondent à l’esprit de l’entreprise. Je vais probablement passer par l’étape de la planche de tendances. Tout ça pour parvenir à un logo, un code couleur, une écriture… bref, une identité visuelle.

Enfin, une fois que tout cela sera bien défini, je vais le transcrire dans le design produit : quelques petits dessins pour voir si tout est cohérent et donner forme (au premier sens du terme) au projet.

Quel beau programme ! Je commence à me demander si ça tiendra sur deux semaines…

J’organise mon temps de travail (enfin, j’essaie…)

Je viens de lire l’article « Créer son entreprise : la routine ! » sur l’excellent blog de Guilhem Bertholet et cela m’a donné envie de décrire mon organisation actuelle du temps de travail.

Comme je m’occupe de ma fille, je ne bosse pas à temps plein, mais plutôt l’équivalent d’un mi-temps (mais qui déborde déjà largement, presque tous les jours !).

Pour l’instant, le matin, je lis les mes messages Twitter pour me tenir au courant dans des domaines que j’affectionne (voir Gagner du temps grâce à Twitter) et je lis les nouvelles du pays parce qu’avec 9 heures de décalage horaire avec la France, la journée est bien avancée quand je me lève ! Ensuite, c’est le temps du blog (sauf aujourd’hui… et hop ! première exception…). Je rédige un article en Français et en Anglais (voir mon blog en anglais) puis je travaille au design du blog et je lis des blogs d’autres créateurs d’entreprise. Je rajouterais les liens vers les blogs que j’aime bien, même si pour l’instant, je ne suis pas encore parvenu à bout de celui de Guilhem !! J’ai aussi le livre « Corporate Blogging For Dummies » à lire… A terme, une fois à jour dans tout cela, le blog ne devrait plus me prendre autant de temps qu’aujourd’hui.

L’après midi est consacré au développement de mon projet, essentiellement suivant le planning que je me suis fixé (voir Emploi du temps). Ces derniers temps, j’ai passé plus de temps à bosser sur mon blog l’après midi et le soir aussi pour qu’il soit fonctionnel et qu’il ait un peu d’allure avant d’en parler autour de moi… En parallèle du développement du concept, je crée aussi un programme de tests divers et variés sur le produit, ce qui a commencé par le chiffrement des dépenses à venir…

Le soir, en général, c’est plus créatif : je discute beaucoup avec ma femme, elle m’aide pour certaines choses où je suis nul comme le design de ma bannière par exemple qui est entièrement d’elle ! C’est aussi le moment des remises en question, des réflexions et des idées plus ou moins philosophiques… pas forcément terrible avant d’aller se coucher !

Me tenir à une organisation du temps permet de me motiver car je sais ce que je suis censé faire à un moment précis de la journée. Ça me permet aussi de me prévoir des moments de détente (en plus des innombrables pauses quotidiennes pour changement de couches, petits pots ou mieux, jeux et exercices avec le petit bout… c’est parfois difficile de se concentrer quand elle est assise à me faire plein de sourires et à essayer de capter mon attention par tous les moyens !)