Depuis le début de l’aventure, je tente de me rassurer en utilisant plein d’outils que je connais et qui ont fait leurs preuves, notamment lors d’un projet d’études qui a mené, avec 4 compères, à la vente d’un brevet à une entreprise pour des semelles sensitives en 2006.
Bien sûr, ce n’est pas tout à fait inutile, mais depuis quelques temps, j’ai plus envie d’y aller au « feeling » ou à l’intuition si vous préférez.
En fait, pour être précis, je dirais que les outils me permettent d’explorer des voies parfois insoupçonnées, mais que la décision finale, se fait au feeling. Comme le choix du nom, par exemple… des jours de creusage de cerveau pour finalement tomber sur un nom qui, immédiatement, évoque tout ce que je cherchais à faire passer, sonne bien, me plait.
Le choix du logo a été dans la même veine : des semaines de tergiversations, un bon coup de main par vos commentaires et vos interventions sur la blablaroom (Ben, Amélie, Marie, Marion, Pascale), m’ont permis de faire ressortir le logo que je voulais et qui m’a sauté aux yeux instantanément. Je sais, c’est irrationnel, mais je préfère dire que c’est de la passion !
Le logo choisi pour Tikalio est donc celui là :
Je l’aime bien : il est simple, reprend les lettres TK qui sonnent comme le nom et que je trouve jolies, évoque la fontaine, juste ce qu’il faut, et on voit même le « check » comme quand on valide une case sur un questionnaire… Le médaillon gris donne du relief au logo et un côté chic, synonyme de qualité. Enfin, il est bien utilisable : rend bien en noir et blanc, peut être décliné et offre de bonnes possibilités de transformations futures si besoin.
C’est mon petit logo et habituez-vous à le voir parce que je vais le mettre partout maintenant !
Ben oui, l’avantage à choisir un logo au feeling, c’est que j’ai forcément pris celui que je trouve cool et que j’ai envie de montrer à tout le monde !
Edit : depuis que j’ai écrit cet article ce matin, je n’arrête pas de chanter « Good Feeling » de Travis ! mais il y a aussi « Feeling Good » de Muse dans les parages !
11 Responses to “Faire confiance au « feeling »”